Un jour, la science arrivera à reconnaitre que : ce n'est pas la détérioration de la vie qui diminue la qualité et la quantité de Biophoton ... mais bien au contraire, c’est lorsque la qualité et de la quantité de Biophoton diminue que la vie se détériore.
Il est donc facile à comprendre que, plus on augmente le potentiel de biophotons, en quantité et en qualité, plus il y aura de santé et de vie radiante … chez les plantes, les animaux et la race humaine.
Les chercheurs Biophotoniques :
Alexandra Gurwitsch (1874-1954), une biologiste russe, a été la première à découvrir une émission de lumière ultra faible émise par un organisme vivant. Il est le fondateur de la théorie des champs morphogénétiques. De plus, nous avons les chercheurs reconnus suivant : F.A. Popp, J.J. Chang, H. Frohlich, Q. Gu, Kih Li, B. Ruth, G. Becker, H.L. Konig, W. Peschka, Ewald Fisher, W. Nagl, H. Inaba, J. Slawinski, G. Cilento, R. Van Wijk, B. Chuirot, J. Fisch, R.P. Bajpai, L.V. Belousov, S. Cohen, H.H. Jung, K. Sup-Soh, M. Lipkind, V.L Voiekol, J. Slawinski, Y. Aoshima, Z. Michiniewicz, J. Swain, Yu. Yan, D. Schlesinger, A. Dolf, Z. Yan, A. Chotia, G.N. Lewis, Y. Oashima, L. Van Klitzing, Marco Bischof, G.J. Hyland, S. Suzuki, M. Kobayasi, M. Hiramatsu, E. Ciccolo, J. Benviste, L. Wolfgang.
Et d’autres encore. Par contre, de tous ces chercheurs en Biophotonique, le plus prédominant et le plus connu est F.A. Popp … c’est lui qui utilise le terme “biophoton” pour différencier d’avec la “bioluminescence”. Selon M. Popp … les Biophotons sont de simples quanta qui sont continuellement et de façon permanente émise par tout organisme vivant. Ils sont le sujet de la physique quantique et démontrent un phénomène universel attribué à tous les organismes vivants.
Méthodes d'analyse des Biophotons :
Le défi pour tout nouveau champ de recherches scientifiques est le développement d’instruments nécessaire pour mesurer et soutenir la recherche. À ce jour, il n’y a que deux méthodes connues qui ont été utilisées dans la recherche Biophotonique.
1. Le photomultiplicateur : Fritz-Albert Popp et ses collaborateurs ont construit des amplificateurs de lumière très sensible pour mesurer les émissions de photons ultras ténues provenant des cellules, un photomultiplicateur. Utilisant l’électrostimulation pour exciter les cellules, le photomultiplicateur donne une lecture du compte total de Biophoton émis par l’échantillon. À l’aide de cette machine, il a été possible de prouver sans l’ombre d’un doute que des émissions de photons ultras ténues sont une caractéristique commune pour toutes les cellules vivantes. Ces émissions sont de différentes intensités selon qu’il s’agisse d’une plante ou d’un animal, pour différent type de cellules et elles peuvent varier d’un moment à un autre.
2. Le Somatoscope : M. et Mme. Excelex ont produit leurs recherches en utilisant le Somatoscope, ils ont enregistré des images de Biophoton à partir de plusieurs échantillons. À partir de ces observations photographiques, Excelex ont documenté des images de trois types de Biophoton différents. Ces observations sont impossibles à effectuer avec un photomultiplicateur, elles fournissent une banque d’informations sur les Biophotons qui sont complètement différentes. Plutôt que d’assembler des informations statistiques sur le nombre de Biophoton émis par une entité vivante, le Somatoscope permet l’observation des Biophotons eux-mêmes.
Les deux méthodes d’observation analytique ont une valeur intrinsèque et des applications propres. Et devraient être considérés comme des outils complémentaires de recherches. Malheureusement, il n’existe que deux photomultiplicateurs et un Somatoscope dans le monde.
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